Les Wi-Fi[4] publics sont bien pratiques pour profiter d’une connexion à Internet[5] depuis un ordinateur[1] ou un smartphone[2] sans grignoter votre forfait téléphonique. Mais ils présentent des risques pour la sécurité de vos données personnelles.
Aéroports, gares, hôtels, restaurants, bars, boutiques diverses, centres commerciaux, salles de spectacle… de très nombreux lieux de passage proposent désormais un réseau[6] Wi-Fi[4] gratuit. Un service offert bien pratique puisqu’il évite à tout un chacun de piocher dans l’enveloppe data incluse dans les forfaits mobiles 4G/5G des opérateurs télécoms pour rester relié à Internet[5]. Il suffit de s’y connecter à travers un smartphone[2] ou un ordinateur[1] pour continuer à recevoir ses mails ou surfer sur le Web[11] sans se soucier du temps passé ou du volume de données échangées. Cependant, si cette prolifération de réseaux Wi-Fi[4] publics facilite la vie des utilisateurs, elle suscite également un grand intérêt auprès des pirates informatiques.
En effet, ces réseaux Wi-Fi[4] sont rarement bien protégés. Et souvent, il n’est même pas nécessaire de fournir un mot de passe[3] pour s’y connecter, l’accès restant ouvert à tous en sélectionnant simplement le nom du réseau[6] dans la liste, histoire de faciliter la procédure. Une aubaine pour les pirates qui peuvent de fait intercepter toutes les communications qui transitent entres les appareils connectés et le point relais. Facile dès lors pour eux d’accéder aux informations que vous saisissez sur votre ordinateur[1] ou votre mobile comme des identifiants et des mots de passe, des données de cartes bancaires, des mails, etc. Pire, profitant de cette jungle de réseaux Wi-Fi[4] en libre accès, les pirates peuvent créer de faux points d’accès Wi-Fi[4]. Ils leur attribuent des noms proches de ceux de commerces alentours et qui sonnent vrais. En s’y connectant, vous ouvrez en grand les portes de votre appareil en permettant au pirate non seulement d’intercepter toutes les données qui entrent et sortent du PC[12] ou du smartphone[2] mais aussi d’y installer, pourquoi, pas un logiciel[7] malveillant. Charmant programme.
Réseaux Wi-Fi publics : les erreurs à ne pas commettre
Attention : tous les réseaux Wi-Fi[4] publics ne sont pas des passoires. Certains sont bien protégés et exigent, par exemple, une inscription pour fournir un accès à Internet[5]. Néanmoins, les pirates ne manquent jamais d’imagination et d’ingéniosité pour tromper les utilisateurs. Aussi, si vous souhaitez continuer à utiliser des réseaux Wi-Fi[4] publics, voici les bonnes pratiques pour éviter de sérieux désagréments.
Ne pas consulter de sites sensibles
Vous souhaitez vous connecter au site de votre banque pour procéder à un virement ou consulter votre relevé de compte ? Il est fortement déconseillé d’effectuer ces opérations lorsque l’appareil que vous utilisez est connecté à un réseau[6] Wi-Fi[4] public. Les informations de connexion sont hautement confidentielles. Si vous devez absolument vous connecter, préférez basculer, le temps de l’opération, sur une connexion 4G/5G à partir de votre mobile (ou en partage[8] de connexion depuis ce dernier si vous utilisez un ordinateur[1]). Cette précaution vaut également si vous devez vous connecter à tout autre site Web[11] sensible comme celui de votre entreprise par exemple pour télétravailler. Vous connecter à des serveurs professionnels pour déposer ou récupérer des fichiers à partir d’un réseau[6] Wi-Fi[4] public représente un risque majeur pour la confidentialité des documents en transit.
Ne pas se connecter aux sites non sécurisés
Cette pratique n’est déjà pas conseillée lorsque vous surfez chez-vous sur votre propre réseau[6] Wi-Fi[4], elle l’est encore moins lorsque vous utilisez un réseau[6] Wi-Fi[4] public. Si le site que vous consultez ne comporte pas la mention HTTPS au début de son adresse, c’est qu’il ne bénéficie d’aucun chiffrement. Toutes les données que vous rapatriez sur l’appareil et celles qui en sortent peuvent être interceptées par n’importe quel pirate sans la moindre difficulté.
Éviter de faire des achats en ligne
Dans la salle d’attente d’un aéroport ou d’une gare, histoire de passer le temps, vous profitez du réseau[6] Wi-Fi[4] disponible pour faire quelques emplettes en ligne ? Mauvaise idée. Si le réseau[6] n’est pas fiable, autrement dit s’il a été mis en place par un pirate, ce dernier pourra peut-être intercepter vos données notamment celle concernant votre moyen de paiement. Rien ne vous empêche cependant de faire du lèche-vitrine, de mettre vos articles préférés dans votre panier mais de les payer plus tard, lorsque la connexion à Internet[5] sera 100 % sûre et fiable.
Désactiver le partage de fichiers
C’est une fonction bien pratique que l’on active souvent chez-soi sur l’ordinateur[1] pour faciliter les échanges de fichiers entre les différentes machines présentes sur le réseau[6] personnel. Cette option présente un réel danger lorsque l’appareil est connecté à un réseau[6] Wi-Fi[4] public, laissant une porte d’entrée possible à un éventuel pirate. Activez les options Réseau[6] public dans Windows[9] ou désactivez tout simplement le partage[8] de fichier[10] pour éviter tout risque d’intrusion.
L’ordinateur fixe possède une unité centrale et un écran séparés. L’ordinateur portable est un tout en un, équipé d’une batterie. Il est possible d’y ajouter des périphériques comme une imprimante, une webcam, un disque dur externe…
Le smartphone a plein de fonctionnalités intéressantes :
- Téléphone (heureusement)
- Messages
- Internet
- Caméra
- Appareil Photo
- GPS
- Lampe de poche
- Agenda
- Rappels…
- Et toutes les fonctionnalités que vous pourrez ajouter en téléchargeant des applications.
On trouve de tous les prix pour les smartphones. Les plus chers étant les iPhones d’Apple et les Edge de Samsung (à partir de 700€). Mais vous avez aujourd’hui des smartphones très accessibles et de bonne qualité, comme ceux proposés par la marque Française Wiko, avec des téléphones à partir de 59€.
Outre les iPhones qui tournent sous iOs et les Windows Phones qui tournent sous Windows Mobile, la plupart des mobiles utilisent Android de Google comme système d’exploitation, vous permettant d’avoir un système personnalisable, sur lequel vous pourrez télécharger des logiciels.
Voici un smartphone sous Android conçu par Wiko :
Et voici à quoi ressemble l’écran d’accueil d’un téléphone Android :
A chaque compte que vous créerez en ligne (sur le site de votre banque, sur une boutique en ligne, pour lire vos mails…) vous aurez besoin de créer un mot de passe.
Ne mettez jamais votre date d’anniversaire, le nom de votre chien ou de votre fils. Cela est trop facile à deviner. Optez pour un mot de passe combinant des chiffres et des lettres, et essayez de ne pas avoir le même mot de passe pour chaque compte utilisateur.
Plus le mot de passe est fort, plus il sera difficile à deviner.
Quand vous tapez un mot de passe sur Internet, il ne sera pas affiché, pour chaque caractère tapé, des points seront affichés, afin de garantir la confidentialité de celui-ci.
Chez vous, le Wi-Fi est distribué par le routeur de la Box Internet, et vous pourrez le capter avec votre smartphone, tablette et ordinateurs. La porté est d’une vingtaine de mètres. Le réseau sans fil est sécurisé par un mot de passe, généralement indiqué sur un autocollant à l’arrière de votre box, afin que des intrus ou vos voisins ne se connectent pas à votre réseau.
Pour vous connecter à un réseau à portée, cliquez sur l’icône représentant des petites ondes concentriques en bas à droite de votre écran (de la barre des tâches) à proximité d’où est affichée l’heure.
La liste des réseaux à portée s’affichera, choisissez le votre et entrez le mot de passe. Si tout se passe bien vous serez connecté, et vous pourrez commencer à naviguer sur Internet grâce à votre navigateur.
Il n’y aura plus besoin par la suite d’indiquer le mot de passe.
Quand on dit « je vais sur Internet » c’est que l’on ouvre son navigateur et que l’on commence à consulter des sites Internet et des applications en ligne : Réseaux sociaux, sites d’informations, vidéos, banque en ligne, boutiques en ligne…
En savoir plus sur l’histoire d’Internet sur Wikipédia, cliquez ici.